LNG Brick® est une solution pour le stockage de gaz dédié à la propulsion et destinée aux navires nécessitant une petite quantité de GNL (moins de 3 000 m³). Elle comprend le stockage et la salle de préparation de gaz. LNG Brick® est livrée sous forme de bloc prêt à être intégré à la structure du navire.
La technologie LNG Brick® est principalement dédiée aux navires soumis à de fortes contraintes de cargaison et/ou cabines, dont la géométrie cubique s’applique, tels que les ferries, les rouliers et les porte-conteneurs.
N'importe quel chantier naval peut envisager la solution car aucune connaissance particulière sur les réservoirs à membrane ou le GNL n'est requise, puisque le réservoir est livré déjà équipé et testé.
La forme cubique est conçue pour s'adapter à l'espace disponible, offrant ainsi une solution plus efficace que les autres technologies. Par exemple, par rapport aux réservoirs de type C indépendants, il est possible de charger 50% à 100% de GNL supplémentaire dans le même espace donné. Cela signifie que l'autonomie du navire peut être considérablement augmentée.
La flexibilité opérationnelle a été accrue grâce à sa capacité à maintenir une pression supérieure à celle des réservoirs à membrane traditionnels. Il garantit plus de 15 jours d’autonomie (réservoir fermé).
Les composants sont standardisés pour limiter le nombre de références. Cela simplifie la conception et rend LNG Brick® plus compétitif.
LNG Brick® est livré sous forme d’un bloc prêt à être intégré dans la structure du navire, adapté aux cuves de 300 à 3 000 m3.
Il intègre le système de membrane éprouvé Mark III qui a été simplifié et standardisé pour un petit réservoir cubique.
La membrane est installée dans un réservoir auto-supporté puis intégré au navire par le chantier naval.
GTT a démontré la faisabilité avec des sociétés de classes et a reçu des accords de principe (AIP) par DNV GL, ABS, Lloyd’s Register, et Bureau Veritas. En outre, en décembre 2017, le prototype LNG Brick® a été soumis à un test de pression dans des conditions cryogéniques, démontrant ainsi la capacité de la membrane à supporter une augmentation de la pression de vapeur.